Hazel Gabe is interested in concepts of imprintedness, being in/of, being many? She works with native plants to help the insects. Last year she learned the genius of a meadow: tall grass protects the flowers, so they don't dry out, and still lets the rain wind and sun get to them. Hazel reflects on trauma, minds and being, queerness, and the thoughts of jellyfish, who have no brain, but distributed neurons. 
 
Hazel Gabe s’intéresse aux notions d’empreinte, d’être dans / d’être de, d’être multiple. Elle travaille avec des plantes indigènes pour soutenir les insectes. L’an dernier, elle a découvert le génie qui se cahche  dans une prairie : les hautes herbes protègent les fleurs de la sécheresse et laissent passer la pluie, le vent et le soleil. Hazel réfléchit au traumatisme, à l’esprit et à l’existence, à l’identité queer, ainsi qu’aux pensées des méduses — des êtres sans cerveau, mais dotés de neurones.